Mon travail sur le calcul mental comprend différentes étapes ; une compétence est travaillée sur une semaine.
1) Le document de travail
En début de semaine, je distribue aux élèves une grille de calcul mental.
Elle servira de support pour le travail de la semaine. Les élèves la collent dans le cahier du jour.

2) Les séances d’entraînement
Trois fois par semaine, nous faisons une séance d’entraînement.
(L’entraînement est précédé d’un travail plus ou moins long sur les procédures à engager grâce à des exemples traités collectivement).
Je dicte les opérations aux élèves (18 opérations + 1 problème) ; les élèves écrivent les réponses sur leur ardoise.

Ensuite, nous corrigeons les opérations (sur les diaporamas, la correction s’affiche).

Les élèves comptent alors leur nombre de bonnes réponses et notent leur score sur la grille préalablement collée (chaque opération vaut 1 point ; le problème vaut 2 points ; ce qui fait un total de 20 points au maximum).
3) Le défi calcul mental
En fin de semaine, nous procédons au défi calcul mental : il s’agit d’un exercice identique à ceux de la semaine. La seule différence, c’est que celui-ci est corrigé par l’enseignant, sur le cahier.
Cela permet à tout le monde (élèves et enseignant) de faire le point en fin de semaine sur la compétence travaillée.
Cette fois-ci, les élèves ne travaillent pas sur ardoise, mais sur la grille collée en début de semaine (partie “défi”).
4) L’évaluation
Toutes les quatre leçons (donc environ toutes les quatre semaines), je procède à l’évaluation des compétences travaillées.
Pour cette évaluation, il y a cinq opérations par compétence, soit un total de 20 calculs à faire.

4) Les documents
Pour ma part, les séances de calcul mental ont pour support les diaporamas que vous trouverez associés à chaque compétence.
On peut faire sans, mais c’est tout de même rudement pratique de faire avec !
Le diaporama est automatique : à partir de la deuxième diapositive, vous pouvez laisser défiler, les opérations s’affichent tour à tour, accompagnées d’une lecture orale du calcul.
La barre jaune sur la droite permet de marquer le temps, elle est paramétrée pour descendre sur un temps déterminé (entre 12 et 25 secondes, selon la difficulté de la compétence travaillée).
A la fin du diaporama, la correction des opérations s’affiche.
- Les documents de différenciation
Pour les élèves en difficulté, je propose des feuilles de différenciation. Les opérations sont écrites, ils travaillent directement sur la feuille.
Cela permet de travailler sur un rythme différent, sans être pris par la pression du chronomètre qui défile.
Cela permet également à l’enseignant de travailler avec l’élève en s’appuyant sur les nombres écrits, afin d’expliquer en profondeur la procédure à engager.